Dans le calme immobile de la grève solitaire
s’échouent les rêves éphémères de mon âme malhabile,
et les murmures du silence bercent l’abîme de mon coeur,
le temps s’écoule de nulle part vers de souverains ailleurs.
Là, loin des chimères et futiles rumeurs de l’humanité
mon esprit libéré peut goûter la caresse de la sérénité